ASSURANCE : LE RISQUE LOURD A NE PAS NEGLIGER
Les dirigeants opérationnels, propriétaires de leur outil de travail, ne doivent pas négliger leur protection en cas d’incapacité, invalidité ou décès. Très peu sont conseillés en la matière. Pourtant un audit social peut, dans bien des cas, prévenir des difficultés à venir et sécuriser les risques liés à une mauvaise prévoyance.
L’audit va tout d’abord permettre au dirigeant de connaitre le montant d’indemnisation qu’il juge nécessaire en cas d’incapacité temporaire de travail (ITT), d’invalidité ou de décès.
Ce montant dépendra tout d’abord du patrimoine qu’il aura constitué (qui n’est pas du patrimoine de jouissance), mais aussi du régime matrimonial qu’il aura choisi pour la protection du conjoint ainsi que des dispositions successorales qu’il aura établies pour couvrir les enfants et le conjoint survivant en cas de décès. De même la rédaction des clauses bénéficiaires des contrats d’assurance seront à ne pas négliger.
Une fois avoir exprimé son besoin, il conviendra de s’assurer de l’adéquation quantitative entre les garanties existantes et le besoin. Pour ce faire, une analyse approfondie des contrats mis en place sera réalisée (analyse des montants, des clauses bénéficiaires, plafonnement, exclusion, etc...).
L’audit social étant réalisé, des stratégies d’optimisation seront proposées au dirigeant afin de pallier les risques existants.